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Se retrouve ici le décor et la symbolique du premier album légèrement tintés par la dérision et le non-sérieux du deuxième.
La chanson titre de l'album livre une partie de l'intimité du chanteur. Renaud parvient avec une mélodie toute simple, des mots simples, voire anti-romantiques (cassoulet, guibole, marmot...) à écrire une chanson vraie et terriblement romantique. De toutes les chansons de l'album, "Ma gonzesse" reste celle qui a le mieux subi le poids des ans.
Revendication humoristique d'indépendance de ce quartier de Paris où Renaud est né et a vécu.
Tout retombe avec cette chanson qui se recentre sur la vie parisienne et où Renaud s'adresse aux gavroches de la capitale pour leur faire prendre conscience des bons côtés de la ville.
Renaud ne se cantonne plus à Paris et clame haut et fort la bêtise de tous les Français. Provocante au possible, Renaud enchaîne sur quelques accords les vérités blessantes, sur un style encore plus cynique que Société tu m'auras pas !. Devenue culte, cette chanson est considérée comme l'une des plus incontournables de son répertoire.
Sur une mélodie légère et enjouée, une première sur l'album, Renaud chante la Coupole et ses fillettes.
Après sa présentation géographique et affective, le chanteur livre ici sa façon de penser des gens qui, selon lui, se sont fait corrompre par la société. Renaud montre pour la première fois la facette anarchiste de son personnage.
Continuant sur la brèche ouverte par Rita, Renaud commence les jeux de mots et les jeux sur les mots dans ses chansons. La forme change également. Le style devient plus chantant, plus ouvert.
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