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Cette chanson, inspirée de la chanson d'Antoine, Petite fille ne croit pas, aurait eu des premières paroles jugées trop engagées politiquement pour un premier album (Renaud y aurait évoqué Franco).
Après sa présentation géographique et affective, le chanteur livre ici sa façon de penser des gens qui, selon lui, se sont fait corrompre par la société. Renaud montre pour la première fois la facette anarchiste de son personnage.
Dans le même axe que Gueule d'aminche et La Java sans joie, encore une chanson sur la vie d'un Parisien.
Continuant sur la brèche ouverte par Rita, Renaud commence les jeux de mots et les jeux sur les mots dans ses chansons. La forme change également. Le style devient plus chantant, plus ouvert.
Difficilement compréhensible, la chanson de fermeture de l'album est une étrange déclaration d'amour à une allemande appelée Greta. Renaud continue sur les jeux de mots en intervertissant les syllabes et en les répartissant sur le vers. Cette chanson dénonce en fait les problèmes de relations entre les Allemands de l'Ouest et ceux de l'Est.
La toute première chanson du tout premier album est un éloge à la capitale française et permet de présenter sur un air d'accordéon Renaud en titi parisien, son premier personnage.
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