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Un loubard se fait dépouiller par divers protagonistes plus costauds que lui.
Caricature d'une bande de jeunes, avec ses différents archétypes.
Chanson acide sur une "boum" totalement ratée.
La toute première chanson du tout premier album est un éloge à la capitale française et permet de présenter sur un air d'accordéon Renaud en titi parisien, son premier personnage.
Après sa présentation géographique et affective, le chanteur livre ici sa façon de penser des gens qui, selon lui, se sont fait corrompre par la société. Renaud montre pour la première fois la facette anarchiste de son personnage.
Renaud ne se cantonne plus à Paris et clame haut et fort la bêtise de tous les Français. Provocante au possible, Renaud enchaîne sur quelques accords les vérités blessantes, sur un style encore plus cynique que Société tu m'auras pas !. Devenue culte, cette chanson est considérée comme l'une des plus incontournables de son répertoire.
Une nouvelle virée dans l'intimité du chanteur et de son envie d'avoir un fils. Avec des mots simples et des effets réduits au maximum, la chanson dégage une densité forte, renforcant encore un peu plus l'image du chanteur.
Cette chanson repose sur une mélodie simple et répétitive servant à décrire le HLM qu'habite le loubard Renaud du rez-de-chaussée jusqu'au huitième, étage par étage. Les habitants décrits dans le HLM couvrent à peu près toutes les tendances. La structuration de la chanson, la qualité du texte et la mise en phase de l'oeuvre avec son époque en ont fait...
Cette chanson, une des plus connues de Renaud, raconte l'histoire d'un loubard devenu triste suite à la séparation d'avec sa gonzesse. Souvent chantée en concert, elle est devenue une chanson incontournable de Renaud et a contribué au mythe du loubard au coeur tendre.
La chanson titre de l'album livre une partie de l'intimité du chanteur. Renaud parvient avec une mélodie toute simple, des mots simples, voire anti-romantiques (cassoulet, guibole, marmot...) à écrire une chanson vraie et terriblement romantique. De toutes les chansons de l'album, "Ma gonzesse" reste celle qui a le mieux subi le poids des ans.
Voilà le retour du Renaud loubard, blouson de cuir et mobylette. Sur un rythme assez twist, la chanson narre les mésaventures d'une bande de jeunes mettant la panique dans un bal. Le but de la chanson est clairement de distraire.
Quoique reposant toujours sur son image de loubard, Renaud lègue de plus en plus ses aventures à d'autres personnages pour passer vers un style plus narratif. Ici, il raconte l'histoire d'un petit voyou qui expulse l'un après l'autre les différents clients très typés qui entrent dans « son » bar.
Pour se défendre de ceux qui l'accusaient de s'embourgeoiser depuis la promesse faîte dans Société tu m'auras pas et pour rassurer ceux qui tendaient à les croire, Renaud offre une chanson écrite dans un style très acide. La chanson, lancée par un accord saturé de guitare électrique permettant à la forme de rejoindre le fond, est une lettre ouverte à...
Sous la forme d'un petit slow, il s'agit d'une pseudo histoire d'amour entre un français et une jeune fille au pair qui sert exclusivement de prétexte à des paroles franglaises inimaginables. Selon Renaud, il s'agit d'une satire des slows habituels.
Hommage à son grand-père maternel Oscar Mériaux, ouvrier et syndicaliste communiste du nord de la France.
Suite et fin de la chanson Les aventures de Gérard Lambert présente dans son opus précédent Marche à l'ombre. Etant devenu plus riche, notre héros a troqué la mobylette de l'épisode 1 contre une Simca 1000. Il est le portrait du loubard pathétique.