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Enregistrement pirate de la tournée "Tour 92" à Liège le 02/05/1992.
Chanson plutôt tragique sur le destin d'une bande de jeunes.
Hommage à son grand-père maternel Oscar Mériaux, ouvrier et syndicaliste communiste du nord de la France.
Renaud décrit ici le quotidien triste et sans avenir d'une quinquagénaire vivant dans une banlieue rouge.
Cette chanson, une des plus connues de Renaud, raconte l'histoire d'un loubard devenu triste suite à la séparation d'avec sa gonzesse. Souvent chantée en concert, elle est devenue une chanson incontournable de Renaud et a contribué au mythe du loubard au coeur tendre.
Renaud ne se cantonne plus à Paris et clame haut et fort la bêtise de tous les Français. Provocante au possible, Renaud enchaîne sur quelques accords les vérités blessantes, sur un style encore plus cynique que Société tu m'auras pas !. Devenue culte, cette chanson est considérée comme l'une des plus incontournables de son répertoire.
Quoique reposant toujours sur son image de loubard, Renaud lègue de plus en plus ses aventures à d'autres personnages pour passer vers un style plus narratif. Ici, il raconte l'histoire d'un petit voyou qui expulse l'un après l'autre les différents clients très typés qui entrent dans « son » bar.
Pour se défendre de ceux qui l'accusaient de s'embourgeoiser depuis la promesse faîte dans Société tu m'auras pas et pour rassurer ceux qui tendaient à les croire, Renaud offre une chanson écrite dans un style très acide. La chanson, lancée par un accord saturé de guitare électrique permettant à la forme de rejoindre le fond, est une lettre ouverte à...