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Deuxième personnage après Germaine à apparaître dans la future galerie de portraits que Renaud a dressé tout au long de sa carrière, Gérard Lambert, un invraisemblable anti-héros en mobylette apparaît. Le personnage caricaturé dans cette chanson n'est autre que Gérard Lanvin à qui Renaud a piqué son épouse Dominique.
"Peau aime" n'est pas à proprement parler une chanson mais un texte à rimes sur la soit-disante vie du chanteur vraisemblablement enregistré lors d'un de ses premiers concerts. Du début à la fin, l'auditeur est emmené sur toutes les fausses pistes possibles et imaginables, sur les sentiers de la démystification totale.
La musique légère et judicieusement hachée au niveau du rythme accompagne les paroles qui racontent l'amitié entre un gitan et un parisien.
Une nouvelle virée dans l'intimité du chanteur et de son envie d'avoir un fils. Avec des mots simples et des effets réduits au maximum, la chanson dégage une densité forte, renforcant encore un peu plus l'image du chanteur.
Voilà le retour du Renaud loubard, blouson de cuir et mobylette. Sur un rythme assez twist, la chanson narre les mésaventures d'une bande de jeunes mettant la panique dans un bal. Le but de la chanson est clairement de distraire.
Une petite chanson mélancolique sur les sentiments du chanteur sur le temps qui passe. Le style rappelle celui du premier Renaud de Amoureux de Paname.
Renaud met ici en avant ses racines ch'timi de manière humoristique.
Cette chanson invite à penser que l'album sera de la même veine que le précédent, où pratiquement tout sera destiné à être tourné en dérision. En effet, la chanson a une vocation humoristique et histoire est basée sur différentes anecdotes extraordinaires.
Après la "bande à Lucien" en clôture de l'album précédent, voici la "tire à Dédé". Sur le même principe, le sujet passe du personnel au semi-impersonnel et la chanson rappelle cette fois-ci la R8 Gordini d'un ami.
Première chanson de Renaud, écrite en mai 1968.
Renaud sort ici du sujet redondant de la vie parisienne pour s'essayer dans la chanson humoristique, une brèche possible vers un autre public.
Une autre histoire mettant en scène une petite frappe parisienne, celui-ci tombe amoureux d'une grande dame et se range. Encore une fois, cela permet à Renaud de confirmer son image de chanteur populaire parisien. C'est une vision des vieux quartiers de la capitale française qui sert de décor pour raconter une histoire, avec un appel à l'anarchie moins...
Renaud se conforte ici dans son image de gavroche, avec un parler parisien et un argot qui se font sentir encore un peu plus. Elle chante l'histoire d'un miséreux qui sombre dans le crime et meurt guillotiné.
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