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Chanson contre l'exclusion, mais aussi contre le système, on passe brusquement de couplets lents, calmes, sans reflet de la colère qui est censée monter à des refrains violents et appelant à la violence.
Cette chanson, une des plus connues de Renaud, raconte l'histoire d'un loubard devenu triste suite à la séparation d'avec sa gonzesse. Souvent chantée en concert, elle est devenue une chanson incontournable de Renaud et a contribué au mythe du loubard au coeur tendre.
Cette chanson repose sur une mélodie simple et répétitive servant à décrire le HLM qu'habite le loubard Renaud du rez-de-chaussée jusqu'au huitième, étage par étage. Les habitants décrits dans le HLM couvrent à peu près toutes les tendances. La structuration de la chanson, la qualité du texte et la mise en phase de l'oeuvre avec son époque en ont fait...
À première vue, la chanson rappelle un peu l'album Amoureux de Paname même si le style a évolué depuis les premiers textes. Placé entre deux futurs grands tubes, ce moment de tendresse qui s'attarde sur la vie d'un petit teigneux malheureux offre étrangement une cohérence à l'ensemble de l'album.
Quoique reposant toujours sur son image de loubard, Renaud lègue de plus en plus ses aventures à d'autres personnages pour passer vers un style plus narratif. Ici, il raconte l'histoire d'un petit voyou qui expulse l'un après l'autre les différents clients très typés qui entrent dans « son » bar.
Renaud sort ici du sujet redondant de la vie parisienne pour s'essayer dans la chanson humoristique, une brèche possible vers un autre public.
Un loubard se fait dépouiller par divers protagonistes plus costauds que lui.
Une nouvelle virée dans l'intimité du chanteur et de son envie d'avoir un fils. Avec des mots simples et des effets réduits au maximum, la chanson dégage une densité forte, renforcant encore un peu plus l'image du chanteur.
Sous la forme d'un petit slow, il s'agit d'une pseudo histoire d'amour entre un français et une jeune fille au pair qui sert exclusivement de prétexte à des paroles franglaises inimaginables. Selon Renaud, il s'agit d'une satire des slows habituels.
Cette chanson est tirée d'un fait-divers du 5 décembre 1975 auquel Renaud a assisté.
Pour se défendre de ceux qui l'accusaient de s'embourgeoiser depuis la promesse faîte dans Société tu m'auras pas et pour rassurer ceux qui tendaient à les croire, Renaud offre une chanson écrite dans un style très acide. La chanson, lancée par un accord saturé de guitare électrique permettant à la forme de rejoindre le fond, est une lettre ouverte à...
Renaud ne se cantonne plus à Paris et clame haut et fort la bêtise de tous les Français. Provocante au possible, Renaud enchaîne sur quelques accords les vérités blessantes, sur un style encore plus cynique que Société tu m'auras pas !. Devenue culte, cette chanson est considérée comme l'une des plus incontournables de son répertoire.